lundi 3 mai 2010

La célèbre guerre de Troie


Les archéologues pensent qu'une guerre a effectivement opposé les Troyens et les Grecs vers 1220 avant notre ère. Dans les récits légendaires, la guerre naquit d'une pomme d'or, sur laquelle étaient inscrits ces mots: «à la plus belle», et qui fut jetée par Eris, déesse de la Discorde, au milieu d'un banquet divin, où l'on célébrait l'union de Pélée, roi des Myrmidons, avec Thétis, l'une des Néréides. La pomme, destinée à la plus belle d'entre les déesses, fit aussitôt l'objet de toutes les convoitises. Craignant de courroucer celles qu'il évincerait, Zeus préféra confier le choix de la plus belle à la main innocente d'un mortel.Les Grecs assiègent Troie pendant dix ans. La ville avec sa citadelle Pergame est héroïquement défendue par les Troyens, et parmi eux les cinquante fils et les cinquante gendres du vieux roi Priam. Au premier rang des Troyens combat Hector, mari d'Andromaque

Les enfers....


Les Enfers qui vaudrait mieux appeler "monde souterrain" étaient le lieu où résidaient toutes les ombres des morts. Ils étaient situés tantôt sous la terre tantôt au delà du fleuve Océan à l'extrême occident dans une région que les rayons du soleil n'éclairaient jamais. C'est là que régnaient Hadès et son épouse Perséphone.

la naissance du monde....


Du Chaos, naissent la Terre (Gaia) [qui aura (sans l'aide d'un principe male) la Lumière terrestre (Hemera), le Ciel étoile (Ouranos) et la Mer (Pontos)] et le désir (Eros). Suivent les Ténèbres (Erebos), la nuit (Nyx) [Nyx aura (sans l'aide d'un principe male) la Lumière des astres (Aither)].
Ouranos et Gaia ont une nombreuse descendance: Okeanos (fleuves); Hyperion père d'Hélios le soleil
; Phoibe (la Lune); les Cyclopes; Thémis (la Loi); Mnémosyne (la mémoire); Titan eut avec Gaia (la terre) 12 enfants géants, les Titans. Il céda le trône a Cronos son frère, mais pour que l'empire revienne ensuite a ses propres fils, il obligea Cronos a dévorer ses enfants males. Zeus, Poséidon et Hadès échappèrent toutefois a la mort grâce a une ruse de leur mère. Titan, l'ayant appris, enchaîna Cronos et sa famille; Cronos (Saturne), qui tue Ouranos, engendre avec Rhéa de nombreux enfants (voir ci-dessus), dont Zeus qui le détrônera et deviendra le dieu suprême siégeant dans l'Olympe

Face aux Titans des mi-dieu, mi-homme


Le plus connut est évidemment Hercule qui exécuta les 12 travaux d'hercule. Il est le fils de Zeus et d'une humaine Alcmene. Sa première apparition se fait dans un ouvrage d'Homère.

Quelques mots sur les titans....


Dans la mythologie grecque, les titans étaient les divinités primordiales géants qui ont précédés les Dieux de l'Olympe. Ils étaient fils d'Ouranos et de Gaïa

lundi 19 avril 2010

Les Dieux olympiens


Cronos, ayant été informé par son père Ouranos d'une terrible prédiction lui annonçant qu'un jour un de ses enfants le détrônerait, les avala dès leur naissance. Grâce à sa mère Rhéa, Zeus, le dernier des enfants échappa à ce sort, sa mère l'ayant substitué par une pierre


Il faut rajouter à cela que la mythologie grecque comptait environ 30 000 Dieux, je ne peux par évidence ne pas tous les nommer.

Et la religion dans tout ça...


La religion grecque reposait sur des rites, et non sur un texte sacré et des dogmes. Ceci étant, la mythologie offrait un certain nombre de réponses à des questions existentielles, métaphysiques ou morales courantes : continuité de la vie après la mort, vertu (voir le mythe hésiodique des races), etc.

Introduction


Dans la mythologie grecque, les dieux du panthéon polythéiste sont anthropomorphes et sont avant tout la personnification de forces qui gouvernent l'univers. Bien que certains d'entre eux semblent avoir un certain sens de la justice, ils peuvent se montrer mesquins et rancuniers comme Héra par exemple. La faveur des dieux est gagnée par des sacrifices et la piété, mais ceci ne garantit rien ; en effet, ils sont réputés pour leurs fréquents changements d'humeur ; leurs colères sont terribles et leurs amours peuvent être tout aussi dangereuses.

Le monde de la mythologie grecque est complexe : monstres, guerres, intrigues et dieux inquisiteurs y sont nombreux, il y a aussi plusieurs héros tel que Bellérophon ou Héraclès et les généalogies s'entrecroisent. Cette complexité étant probablement due à la multiplicité des influences : babyloniennes, minoennes, achéennes, autochtones… À partir de ces influences diverses s'est forgée une multitude de récits que l'on pourrait qualifier de "nationaux", propres à une cité (le cycle thébain pour Thèbes, le cycle héracliéen pour Sparte). Toute l'activité des auteurs mythologiques grecs, depuis les aèdes jusqu'au pseudo-Apollonios, consistant à synthétiser cette multiplicité.

Il est notable que les Anciens mêlaient les événements de leur mythologie à ceux de leur histoire. Ainsi, l'Iliade et l'Odyssée étaient considérées comme historiques. Le Grec Évhémère semble avoir été le premier à émettre l'hypothèse que les récits mythologiques sont des déformations de faits historiques réels. Les très nombreuses recherches archéologiques des XIXe et XXe siècles ont voulu conforter et affiner cette approche. Le très célèbre ouvrage de Robert Graves, les Mythes grecs, récapitule les éléments en faveur de cette hypothèse. La question de la continuité entre le temps des dieux et le temps des hommes, apparemment difficile à résoudre, semble pouvoir s'expliquer par des phénomènes de synthèse, de simplification et de symbolisation d'événements concrets (conquêtes, rituels, ...). Les événements décrits dans les différentes théogonies se déroulent donc dans un temps apparemment parallèle à celui de l'humanité, dont les durées ne sont pas transposables.

À l'époque « historique », une attitude vis à vis des récits mythologiques pourrait avoir été une interprétation littérale et non-critique des textes (tout au moins certains personnages publics étaient condamnés pour impiété). Cette approche est parfois comparée à la façon dont, par exemple, certains chrétiens créationnistes d'aujourd'hui interprètent littéralement la Bible comme un récit historique. Il semble que les Grecs se considéraient eux-mêmes descendants de héros mythiques, tendance qui se serait accrue avec l'évhémérisme.

Le théâtre grec, avec Eschyle, Sophocle et Euripide, montre la façon dont les hommes conçoivent l'action des dieux dans leur monde. Dans l'œuvre d'Eschyle, le concept d'ananké préside ce qui peut être conçu comme un équivalent du destin dont serait absent le concept de déterminisme.

En plus de son utilisation constante dans les arts et les sciences humaines comme la psychanalyse et son complexe d'Œdipe, la mythologie grecque fournit des récits très riches sur lesquels sont basés la plupart des problématiques et des thèmes de la littérature occidentale, que l'on peut encore apprécier aujourd'hui